La noblesse repose sur un socle de valeurs, telles que "l'honneur, la dignité et le rang", mais aussi "le sens du service d'autrui… Pour les références complètes voir ci-dessus (section « Bibliographie »). Jean-Toussaint de P., capitaine au régiment de Clermont-Tonnerre-cavalerie en 1760 (, Originaire du Soissonnais, où cette famille fut maintenue noble en 1667 (, Toutes les branches de cette nombreuse famille ont pour auteur commun: Yves du Pontavice, seigneur de Saint-Laurent de Terregatte, (Manche), archer de la compagnie de, René de Pontual, seigneur dudit lieu, en Saint-lunaire, (ILLE ET Vilaine), président de la Chambre des comptes de Bretagne, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 27 octobre 1668. Également maintenu par le grade de maréchal de camp le. Jean-Michel-Auguste de M., agrégé dans l'ordre de la noblesse, aux États de Bretagne, le 30 juin 1762. Un échevin d'Angers en 1684 (Célestin Port, Acte récognitif : Preuves de noblesse délivrées le, Acte récognitif : Maintenue de la généralité de Rouen, élection de, Acte récognitif : Arrêt du Conseil du roi du. (Comte de Waroquier, Maintenue dans la Noblesse par Ordonnance du 26 avril 1668 pour Antoine de Castanet Seigneur de Cambayrac (sous le nom de Cast. Hector des Lyons, greffier des États d'Artois, fut anobli le 19 février 1634 (J.Le Roux, roy d'armes au titre de la Province et Comté de Flandre. Pas toujours surtout s'il s'agit de la petite noblesse. À contrario, les familles françaises subsistantes qui tirent leur principe de noblesse d'un souverain étranger (noblesse étrangère), et qui n'ont pas été maintenues ou reconnues nobles en France (r.n.f. Louis F., seigneur de La Messelière, en Quéaux, (Vienne), maintenu noble en Poitou, les 11 mars 1665 et 21 juillet 1667. D'abord nuancer ce qui concerne la noblesse: il y a noblesse et noblesse. L’Intermédiaire des chercheurs et curieux, Archives et bibliothèque départementales Gaston Defferre, Conseiller Secrétaire du roi, Maison et Couronne de France, Conseiller secrétaire du roi en la Chancellerie, conseiller secrétaire du roi, Maison et Couronne de France honoraire, Liste des familles subsistantes de la noblesse d'Empire, Liste de familles éteintes de la noblesse française depuis 1900, Liste de familles éteintes notoires de la noblesse française, Liste des familles françaises subsistantes dites de noblesse inachevée, Liste des familles françaises subsistantes de la noblesse pontificale, Liste des familles de la noblesse française d'Ancien Régime (A à K), Liste des familles de la noblesse française d'Ancien Régime (L à Z), Liste des familles françaises anoblies et/ou titrées au XIXe siècle, Liste des familles contemporaines de la noblesse belge, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Liste_des_familles_subsistantes_de_la_noblesse_française_(L_à_Z)&oldid=181330658, Liste en rapport avec l'histoire de France, Page utilisant plus de deux colonnes de références, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Noël du Payrat,de Razac,de Saint-Avit,de Mauchapt. Une branche a relevé Trémont par voie d'adoption. Familles absentes du Catalogue de la Noblesse Française de Régis Valette (édition 2007). P.585-N°1436-AR.3251: Certificat de noblesse délivré le 8 avril 1785 par Denis Louis d'Hozier pour l'admission dans les pages de la Petite Écurie, Seigneurs de Chamery en Châteauneuf-Val-de-Bargis en 1438.// Seigneurs de Maupertuis, de Turigny, de, Acte récognitif : Maintenue de noblesse du, Acte récognitif : Extraits des registres de la Chambre de Rennes, établis par le Roy pour la réformation de la noblesse de la Province de Bretagne, certifiant par arrêt du. Noblesse francaise. État de la noblesse française subsistante, Authier et Galbrun, vol. États de la noblesse canadienne en 1767 et 1778 », dans Histoire sociale, 41 (2008), p. 563-603. La famille impériale française telle que vous ne l’aviez encore jamais vue. La seigneurie de Ligneri érigée en marquisat par lettres de juin 1687, en faveur de Joseph d'Espinay Saint-Luc, maréchal de camp, tué à la, Gaspard d'Estresse, maintenu dans sa noblesse par, Cette famille, d'origine chevaleresque, a été maintenue dans sa noblesse par Dorieu, intendant de Soissons, le 18 novembre 1667 et par Caumartin, intendant de Champagne, le 21 décembre 1668. Tallandier 2008 : environ 3 500 dans son introduction, mais seulement environ 2 700 dans sa liste, qui reste lacunaire. Sénéchaussée de Villefranche-de-Rouergue, Reprise du nom d'Armagnac en 1787, Titre de comte d'Armagnac (brevet militaire de François Hilaire d'A. (Comte de Waroquier. La particule est une preuve de noblesse Jamais. (Comte de Waroquier, Famille Bonardi, originaire du Piémont. Louis-François Carlet de La Rozière nommé maréchal de camp le 5 octobre 1781. Cette liste des familles subsistantes de la noblesse française rassemble les familles subsistantes de nos jours qui étaient membres de la noblesse française de l'Ancien Régime avant le 19 juin 1790, qui ont été anoblies et/ou titrées au cours des différents régimes du XIX siècle, et les familles nobles des provinces réunies à la France après 1789 : du comtat Venaissin, du duché de Savoie et du comté de Nice (après 1860). Marie-Catherine de Montlezun, veuve d'antoine de Rocquigny, obtient avec ses enfants une maintenue de noblesse en Boulonnais le 9 juin 1708. fr 32O65). Le marquis Frotier de La Coste-Messelière, lieutenant général, le, Pierre de Gaalon, réhabilité dans sa noblesse le 31 mars 1691. Voir : Liste des familles subsistantes de la noblesse française (L à Z). La commission des preuves de l’A.N.F. La liste des familles classées de L à Z figure dans la seconde partie de cet article. (Dossier ANF). Jacques-Charles de G., cornette au régiment de Penthièvre, puis chef d'escadrons, chevalier de Saint-Louis, le 24 mars 1762, convoqué aux États préparatoires pour les élections des États Généraux de la Noblesse, le 27 janvier 1789. Pour les références complètes voir ci-dessus (section « Bibliographie »). (Comte de Waroquier. Une branche relève le nom de Palaminy-Puivert. Jean Jacques Delfau, président trésorier de France au bureau des finances de Montauban, en 1728. Pour les branches de Bandeville et de Quincy: Archives Départementales des Bouches du Rhône C2212 f° 1050r. Capitoulat de Toulouse, quartier Saint-Pierre en 1746. Jacques-Bruno de Rémond du Chélas, né le 21 février 1729, capitaine au régiment de Lyonnais. Aignan Le Bas, seigneur de Leschenau, secrétaire de la chambre du roi en 1639, maître d'hôtel du roi en 1653. Qu'il détenait lors de l'abolition des charges anoblissantes. Pierre-Jean-Marie R., comte du Cleuziou, mousquetaire de la, Christophe III de Rarécourt de La Vallée, seigneur de Pimodan, capitaine d'une compagnie de 100 arquebusiers à cheval, major des villes et gouvernements de Toul et de Verdun, grand bailli d'épée de Toul, avant 1656. Jean-Baptiste de F., maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le 12 octobre 1668 (, Charles du Fresne, seigneur de Virel (Ille-et-Vilaine), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 31 octobre 1668. La famille "de Nicolaï de Lacoste de Laval" est issue de la famille "de Nicolas", sieurs de La Coste et de Laval. François T., marquis de Balincourt, lieutenant général des armées du roi en 1748, commandeur de l'Ordre de Saint-Louis en 1755. La Barre, châtellenie et seigneurie en Anjou, érigée en marquisat par Lettres de juin 1633, reg. Barons féodaux d'Écosse sortie des Comte de Fife en 1150 par un cadet titulaire de l'office royal de "Dispensator Regis", naturalisée en France en 1474 avec son titre de baron. Tableau de la noblesse présenté au roi. Aujourd'hui elle obéit à une règle : survivre, transmettre et s'adapter. Heeckeren (de) aux Pays-Bas par arrêté royal de 1836, par arrêt de 1841 du Tribunal civil de Colmar en France. Jean-Gabriel de Coataudon, seigneur de Kerduff, en Plouvien (Finistère), garde du corps du roi LouisXVI (. ; d’autres conditions peuvent s’appliquer. DOI : 10.3917/adh.131.0013. La seigneurie d'Houdetot érigée en marquisat en juin 1724, Lettres enregistrées au Parlement les 3 août et 3 novembre suivants, en faveur de Charles de Houdetot, seigneur de Grainbouville, lieutenant-Général des Armées du Roi et Gouverneur de l'Île-de-France. Cette famille serait originaire du Piémont et venue en Barrois avec Christophe Pauli, dit Mousca, gendarme italien, de parents nobles, marié en 1457 avec Adeline Longeaux, dont la postérité a pris le nom. 1 Texte de sous-titre 2 B 3 C 4 E 5 F 6 G 7 H 8 I 9 de Jouennes d'HervilleJ 10 K 11 La 12 M 13 N 14 O 15 P 16 Q 16.1 Quemper de Lanascol, Bretagne 17 R 18 S 19 T 20 U 21 V 22 W 23 Xylpohone de 24 Y 25 Z 26 Notes et références == Le nombre de familles subsistantes de la noblesse française fait depuis longtemps débat. Maintenue dans sa noblesse par arrêt du Conseil d'État du 24 janvier 1667, par Jean Phélippeaux, Intendant de la Généralité de Paris -Enregistrement le 16 avril 1701- (Comte de Waroquier: Tableau généalogique et historique présenté au roi .1786), confirmé par Woelmont de Brumagne. Les familles subsistantes de la noblesse française sont les familles qui étaient autrefois membres de la noblesse française et qui se sont perpétuées jusqu'à nos jours. François-Hyacinthe de T., mousquetaire de la garde du roi en 1722. Maintenue de noblesse à l'intendance de Guyenne le 29 août 1667 et en 1698. Urbain-Guillaume de Quelen, page de la grande écurie du roi en janvier 1745, cornette, puis capitaine au régiment Royal-étranger, garde corps du roi le 17 juin 1753, maréchal de camp le 5 décembre 1787, émigré à Jersey. Henri-Alain-Jean-Joseph de Saint-Meleuc, conseiller au Parlement de Bretagne de 1783 à 1789, incarcéré à Saint-Malo, le 3 octobre 1793, condamné à mort par le tribunal révolutionnaire et guillotiné à Paris le 21 juin 1794 (, René de Saint-Méloir, seigneur de La Ville-Robert, en Saint-Lormel, (Côtes d'Armor), maintenu noble en Bretagne en 1669 (, Gabriel de Saint-Pern, seigneur de Ligouyer, (Ille-et-Vilaine), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 13 décembre 1668. Julien-Anne de Lamarzelle, écuyer, sgr de Beaumesnil et du Bas-Coudray, reconnu noble en France (maintenue) en 1752 (, Julien Lambert, seigneur de Boisjean, en Comblessac (Ille-et-Vilaine), maintenu noble en Bretagne, le, Guillaume de Lambilly, seigneur de Lambilly, en Taupont, (Morbihan), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 17 novembre 1668. Giacinto Boërio est l'un des Douze Nobles de la liste corse en 1636. Alain-Marie de K., maréchal de camp le 3 janvier 1770, lieutenant général le, Guillaume de Kerguelen, seigneur de Kerbiquet (Finistère), maintenu noble en Bretagne, le 10 juin 1670. Authier et Galbrun, Il y a rupture de filiation tout à la fin du, Majorat sur un domaine de 8 300 francs de revenu. Pierre de Couasnon, seigneur de La Barillère, en La Croixille (Mayenne), maintenu noble dans le Bas-Maine, élection de Laval, généralité de Tours, le 18 juin 1668. Baron de Vaubécourt 1862, Champagne, Lorraine, Barrois. Acte récognitif : Lettres Patentes d'anoblissement du, Filiation suivie depuis Colas Dantras, marchand de Marciac, cité dans un acte du. François Guillaume de Sauville (1740-1813) fut nommé conseiller en la Cour des Monnaies par provision du 20 janvier 1768 et reçu le 3 février. Ils étaient cultivateurs, ensuite marchands à Draguignan, Acte récognitif : Procès-verbal des preuves de noblesse, en date du. Louis-Marie-Ambroise, marquis du Dresnay, admis aux honneurs de la cour en 1783, mestre de camp de cavalerie, émigré en 1791, colonel d'un régiment à son nom en 1795, maréchal de camp, chevalier de Saint-Louis (, André Drouet de Montgermont, maintenu noble en Bretagne le 14 novembre 1670 (, Jean-Baptiste-François Dubois de La Cotardière, en Parthenay (Ille-et-Vilaine), conseiller-secrétaire du roi, anobli le 4 janvier 1817 (, Félix Dubois, procureur au Conseil souverain de La Martinique en 1768. des familles nobles et notables de la Corrèze", t.2, ...., p. 335. Aurélien-Marie de C. de La V., secrétaire de la duchesse de Berry, sous-directeur de la Bibliothèque Nationale, historien et poète breton, publia l'Histoire des Peuples bretons en 1846 (, François Déan obtint le 10 septembre 1693, d'Athelon, roi d'armes d'Irlande, un certificat confirmé par le roi Jacques II, le 23 novembre 1694, établissant sa filiation suivie depuis Frédéric Déan, + le 15 octobre 1017 (, Paul-Louis-Marie Dein, colonel d'infanterie, baron de l'Empire le 12 novembre 1811, baron héréditaire le 2 avril 1822, maréchal de camp honoraire, officier de la Légion d'Honneur, chevalier de Saint-Louis. La noblesse de robe du XVIIIème siècle, pas forcément facile à identifier (des généalogistes complaisants ont pu réécrire l'origine de telle ou telle famille Jean P. de S., seigneur de Traversay, officier de cavalerie, combattit à Oudenarde (Flandre), le 7 juillet 1708, et à Malplaquet (Hainaut), le 11 septembre 1709, où il fut blessé. Alexandre de P. de C., commandant de la frégate Améthiste, aux Antilles, en 1759, vice-gouverneur de l'île de la Martinique en 1774, créé baron par lettres patentes du 27 mai 1774. Pierre Bausset, marchand de Marseille, troisième consul de Marseille en 1536 (se référer à la source suivante, Acte récognitif : Comparution de Charles-Marc de Berterèche de Menditte, écuyer, trisaïeul du candidat, comme syndic de la noblesse le, « Le rattachement des Caumont-Bauvilla, dont ils sont, aux Caumont-la Force éteints au. n'y sont pas incluses. Son oncle, le sieur Duport du Court, commandait l'escadre du Roi dans la Méditerranée et ensuite la Flotte combinée de France et d'Espagne au combat naval de Toulon contre les Anglais, lequel mourut en 1753, premier vice-amiral et grand'croix de Saint-Louis. Jean-Baptiste Blanchet de La Sablière, membre de l'Assemblée de la noblesse du bailliage d'Étampes pour l'élection des députés aux États généraux de 1789 (, René-Antoine Blocquel de Croix, seigneur de Wismes-en-Artois, reconnu noble en 1710. Pierre-Joseph-Louis de Terves, lieutenant au régiment de Foix-infanterie, émigré à l'armée de Condé en 1792, grièvement blessé à Belhem le 19 juillet 1793 (, Louis Testu, seigneur de Balincourt, (Vexin français), chevalier de Saint-Michel, gentilhomme de la chambre du roi, député de la noblesse de Pontoise aux États Généraux tenus à Tours en 1651, maintenu noble le 3 janvier 1668. à Besançon et à Dole. On retrouve les armes familiales peintes dans la grande salle des croisades du château de Versailles. Dictionnaire de la noblesse : contenant les généalogies, l'histoire et la chronologie des familles nobles de France. On peut être aristocrate sans être noble. La dernière modification de cette page a été faite le 14 janvier 2021 à 15:26. Maintenue noble en 1668 sur le vu d’une production falsifiée établissant une noblesse de race remontant à 1493, Une branche de Choulot a relevé Chabaud La Tour par adoption. Une des branches cadettes relève le nom de Sirvinges. La Révolution française de 1789mit fin à l'existence de ces ordres et aux droits et devoirs qui y étaient attachés. L'adjonction du nom de Fitz-James par adoption en 1923. Tome 7 / par de La Chenaye-Desbois et Badier -- 1863-1876 -- livre Étienne de Séréville & Fernand de Saint-Simon. La branche cadette, pour la maintenue de noblesse de 1670, s'est fait passer pour descendante de l'anobli de 1627 alors qu'elle n'en descend pas. Pierre-Marie-René de T. de C., admis au collège de la Marine de Vannes sur preuves de noblesse du 31 janvier 1787. Jérome Adrien de Joybert, député de la noblesse en 1789 (M. de Caumartin, Après alliance avec une Battant de Pommerol en 1849, ajout légal de "Pommerol" par décret du 3 février 1914, Acte récognitif : Lettres patentes d'anoblissement du roi d'Espagne, Philippe II, du, Famille subsistante et incorporée dans la noblesse néerlandaise en 1900 et 1910 ; voir, Acte récognitif : Protestation de la Noblesse du. René-Célestin-Bertrand de Saint-Pern, capitaine de la noblesse de l'évêché de Saint-Malo, arrêté, ainsi que la marquise de Sain-Pern, à Saint-Malo, le 12 octobre 1793., transféré à Paris en juin 1794, enfermé à Sainte-Pélagie, puis à la prison-hospice de Montprin où il mourut le 4 octobre 1794. Charles-Gabriel, créé marquis de Messey par lettres Patentes du 31 mars 1705. (Guy Chamillart, Noble Louis Richard, conseiller de l'Hôtel du duc de Bourgogne, mort avant 1465. Jean-François de Chappedelaine (1687-1737), écuyer, épouse le 12 janvier 1712, Louise de Miniac. Mais l'édit de 1778 déclare nulles et non avenues ces lettres d'honneur et il reprend sa place le 29 juillet 1778 et exerce jusqu'en 1790. Preuves devant les généalogistes des ordres du roi (A.N. Jean de La Tribouille, seigneur du Clouzi, de Beczons, La Braudière et La Rousselière, paroissien de Moutiers-Les-Maufaits (Vendée), commandant d'une compagnie de gens de pied du marquis de Bressé, maintenu noble en Poitou le 9 août 1667. ↑ Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante au XXI e siècle, 2002, page 69. Louis de Turenne, marquis d'Aynac, page de la Grande Ecurie sur preuves du 21 mars 1548. Jonathas-Marie-Hyacinthe de P., marquis de Cheffontaines, page de la petite Ecurie du roi en 1765, admis aux honneurs de la Cour, le 18 mars 1788. Famille Le Marchand de Guignard de Saint-Priest : Association d'entraide de la Noblesse Française (ANF) - Table des familles. Hervé de Quelen, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 10 juin 1670. Noblesse maintenue le 16 mars 1641, devant Bretel de Grimonville, intendant de Champagne et le 2 juin 1668 par Caumartin. Auguste-Jean-Marie Foucher, comte de Careil, épouse à Saint-Malo, le 24 mars 1824, Caroline-Marie Surcouf, fille du célèbre corsaire. Jean-Baptiste de St-G., commandant de neuf compagnies des gentilshommes des évêchés de Dol et de Saint-Malo, avant 1709. René-Jean-Marie de K. de K., contre-amiral, chevalier de Saint-Louis, admis aux honneurs de la cour en 1787 (, Jacques de Kerguiziau, seigneur de Kervasdoué, en Plouzané (Finistère), maintenu noble en Bretagne, le 18 janvier 1669. n'y sont pas incluses. Acte récognitif : Copie par Merigot, Directeur de la recherche des usurpateurs du titre de noblesse de la Généralité de. de Cast. Son corps repose dans le chœur de l'église Saint-Louis de Brest (, Guy de Fontaines, chevau-léger de la garde du roi de 1669 à 1683, puis écuyer du prince de Condé de 1683 à 1686. Gaëtan d' Aviau de Ternay "Les pages des écuries du roi, des reines et des dauphines", 2006, page 154. Autre François Libault, seigneur de La Chevasnerie, capitaine de cavalerie, garde du corps du roi, compagnie de Luxembourg, secrétaire des commandements de Madame la duchesse de Berry, en 1832 (, Isaac de Lignières, seigneur de Marteville-Lignières, (Aisne), capitaine d'infanterie, maintenu noble à l'Intendance de Soissons, le 5 septembre 1667. Louis-Hyacinthe-François Péan, comte de Pontfilly, mousquetaire gris de la, François-Hyacinthe de Penfentenyo, seigneur de Cheffontaine en Sibiril, (Finistère), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 12 août 1669. Isabelle Marie Anne de Truchis de Varennes, plus connue comme chanteuse sous le pseudonyme de. Médecin des enfants de France (, François, seigneur de Coataudon, en Guipavas (Finistère), maintenu noble d'extraction en Bretagne le 19 août 1669. Louis-Pierre d'Hozier "Armorial général de la France", Firmin-Didot 1738, volume 1, pages 186 à 188. Augustin de V., conseiller au Parlement de Bretagne en 1745 (, François-Marie, baron de Froment, lieutenant-colonel, en 1791, chevalier de Saint-Louis, baron héréditaire le 4 novembre 1815. André Boussineau, conseiller du roi, procureur au Présidial, puis maire de Nantes, confirmé dans sa noblesse en 1720 (, Raoul Bouthray né en 1550, avocat au conseil de France auteur de « l'incendie de Paris » en 1618 - puis Jean olivier Boutray, Claude-Yves Boux, seigneur de La Gaudinière, maintenu noble en Bretagne le 12 décembre 1668 (, Charles Bréard de Boisanger, maintenu noble en Bretagne le 11 novembre 1701 (, Anne du Breil, Vicomte de Pontbriand, maintenu noble en Bretagne le 21 novembre 1668 (, Pierre, marquis de Brémond d'Ars, commissaire de la noblesse de Saintonge en 1758. Xavier D., créé baron de Pontalba, le 8 mai 1810, avec majorat, titre confirmé le 30 mai 1865. Louis de La Roque et Édouard de Barthélemy, 1862 (Bibliothèque nationale de France, Lm2-68). Florentin-Claude de Kerautem, émigré, puis chef de division de l'armée catholique et royale de Bretagne, pris et fusillé par les bleus au village de Baraval, en Saint-Aignan (Morbihan), le 2 ventose An II (, Pierre-Maurice de Kergariou, seigneur de Coëtilliau-en Poubezre (Côtes d'Armor), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 21 mars 1669. Pierre d'Hozier et Antoine Marie d'Hozier de Sérigny. Avait obtenu le 21 avril 1777 des lettres d'approbation de service pour lui, son père et son grand-père et avait été créé marquis de La Rozière par Lettres Patentes de 1780. Tracy par décret de 1861 après alliance d'Estutt. La famille de La Vaissière de Lavergne, olim Vaissière [2], est une famille subsistante de la noblesse française originaire d'Auvergne (Saint-Flour), anoblie en 1655 [2], [3 Jacques-Louis-Joseph, page du roi Louis XVI le, Joseph-François Quemper, seigneur de Lanascol, en Plouzélambre, (Côtes d'Armor), maintenu noble en Bretagne en 1668. Marie-Edme-Patrice, duc de Magenta, maréchal de France, président de la République Française de 1873 à 1879 (, Nicolas Magon, connétable de Saint-Malo de 1674 à 1695. Postérité à la fin du, Mathieu-Léonard-Joseph Henrys, baptisé à Montbrison, (Loire), le 27 octobre 1645, conseiller du Roi, capitaine-Châtelain de la Prévoté de Châteauneuf-en-Forez (Loire), gentilhomme du prince de Condé, anobli en 1678. Le titre de marquis, éteint avec son seul fils en 1711, n'est que de courtoisie depuis. Joseph-Charles H. du F., né le 19 avril 1812, général de division, grand officier de la Légion d'honneur (, Claude Harscouët, seigneur de Goasbian, en Plouha, (Côtes d'Armor), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne en 1669. Louis Jacques Audibert de Lussan, né en 1703, mort archevêque de Bordeaux le 15 novembre 1769. Mathieu-Pierre-Marie de Courson, seigneur de La Villeneuve, en Saint-Gilles-Le-Vicomte (Côtes d'Armor), maintenu noble en Bretagne en 1781. Pièces originales 3006, Nouveau d'Hozier 332. François-Xavier B de la R-B, maintenu noble à l'Intendance de Poitiers le 3 avril 1748 (, Sébastien de Bruc, seigneur de Livernière, maintenu noble en Bretagne le 19 janvier 1671 (, Julien Budes, seigneur de Launay-Couvran en Trégueux, maintenu noble en Bretagne en 1669 (, René Busnel, seigneur de La Touche, maintenu noble en Bretagne le 2 mars 1669 (, François de Cadaran, maintenu noble en Bretagne le 23 octobre 1668 (, René Cadoret est maintenu dans sa noblesse en Bretagne en 1669 (, Joseph de Cadoudal, maréchal de camp, chevalier de Saint-Louis, commandeur de la Légion d'Honneur, anobli le 16 décembre 1815. Privilèges et devoirs. Antoine de M., capitaine de 100 hommes de pied au régiment d'Albret, passé au régiment d'Enghien le 16 avril 1646, maintenu noble par jugement du Bouchu, conseiller du roi, du 19 février 1669. Pierre de B. de Bélinay, maintenu noble en Auvergne dans l'Élection de Saint-Flour, le 29 mars 1666 et confirmé dans sa noblesse en mars 1669 (, Louis-Gabriel-Auguste de Bonchamps, membre des assemblées de la noblesse du bailliage de Falaise en 1789 ((, Anne Bonnin de La Bonninière, maintenu noble en Touraine le 3 mars 1669. Claude-Joseph-Barnabé de W., chevau-léger de la Garde du roi, tué en duel le 25 octobre 1757. Pierre-Eugène-Joseph d'H de T., émigré à l'Armée de Condé (, Jean, Hersart, seigneur de La Villemarqué (Ille-et-Vilaine), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le 24 mai 1669 (, Yves-Michel Hervé du Pehhoat, commissaire du roi en ses conseils en 1774, subdélégué de l'Intendance et commissaire des États de Bretagne en 1776, maire de Saint-Paul, arrêté le 13 brumaire, an II, comme père d'émigrés et agent royaliste, guillotiné à Brest le 7 juillet 1794. Dépouillement en cours de Nicolas Guerre, Noblesse 2001. René-François G., seigneur de Villeblanche, en Saint-Caradec d'Hennebont, (Morbihan), conseiller au Parlement de Bretagne, de 1710 à 1736. Chatellenie de Vibraye érigée en marquisat en avril 1625, Lettres enregistrées au Parlement le 17 mars 1629 et en la Chambre des Comptes le 18 juin 1649, en faveur de Jacques Hurault. Pour les personnes les estimations varient de 50 000 ou de 100 000[b 1] à 140 000 individus, ce qui représente environ 0,1 à 0,2 % de la population française. "État de la Noblesse Française subsistante" volume 28 pages 280 et 281 de Michel Authier et Alain Galbrun, qui montre que le père de Jean de THOMAS, Antoine THOMAS, seigneur de Rocquecourbe est mort en 1612 et que c'est son fils, donc le frère de Jean, autre Antoine THOMAS, aussi seigneur de Rocquecourbe qui a été anobli en 1627, donc 15 ans après le décès de leur père. Marc-Antoine, Jean-Louis Vittu, seigneur de Gueslain, secrétaire du roi en la Chancellerie près le Parlement de Bretagne, prévost de la connétablie de France, reconnu noble le 11 avril 1743. Gilles G., conseiller-secrétaire du roi en 1720, directeur des monnaies à Rennes. Gabriel de F., conseiller du roi en ses Conseils d'État, conseiller au Parlement de Bretagne, le 19 août 1633, président à mortier le 20 décembre 1647, député par le Parlement vers le Roi Louis XIV, le 17 octobre 1651. Hugues Charles Desplaces de Charmasse a comparu aux assemblées de la noblesse en 1789. Claude de W., cornette au régiment de la reine. (Authier et Galbrun, Acte récognitif : lettres patentes de trésorier royal du. La deuxième du 25 juin 1718 (, René, marquis de Tinténiac, seigneur de Quimerc'h, en Bannalec (Finistère), maintenu noble en Bretagne, le 26 juillet 1669. Preuves pour une sous-lieutenance du 3 novembre 1787. (D. Labarre de Raillicourt, Maintenue de noblesse en Auvergne le 28 juillet 1667. Jean-René-Louis de Kermoysan, officier au régiment de Royal-Auvergne, émigré en 1791, prisonnier en 1796 des armées républicaines et condamné à mort. Autre Louis-Marie-Joseph de T., lieutenant au régiment de Poitou, a servi à la Martinique, émigré à l'armée des princes, en 1792, blessé au combat de Bois-le-Duc (, François de Trémaudan, seigneur du Tertre, en Plénée, (Morbihan), chevau-léger de la garde du roi, maintenu noble en Bretagne, le 3 septembre 1670 (, Jacques Treton, avocat au Parlement, secrétaire du roi, le 17 juillet 1701. La noblesse française, ce sont 3.000 familles dont 300 remontent au Moyen Âge. Modèle:Typographie Familles subsistantes de l'ancienne noblesse française (L à Z) (suite de l'article Familles subsistantes de la noblesse française (A à K)) Laage de Bellefaye (de), secrétaire du roi Paris 1718-1738, Saintonge, Île-de-France, ANF-19931 -et de Meux (de), trois secrétaires du roi 1759-1784, Saintonge, Orléanais, ANF-1984. Jean de Chalus, reconnu noble par un arrêt de la cour des aides de Paris du 20 décembre 1754 (, Jacques de Champs, seigneur de Saint-Léger-de-Fougeret (Nièvre), maintenu noble par la Cour des Aides de Paris le 8 août 1657 (, Julien de Chappedelaine, (1649-1710), écuyer, épouse à Lamballe le 8 juin 1677, Françoise de Gouyon. Défenseur de Lille en 1708 sur une chaloupe à canons, contre les troupes du prince Eugène, chevalier de Saint-Louis. Étienne-guillaume Le Noir de Carlan, officier de marine, établi à la Guadeloupe vers 1780 (, Pierre Le Normant, seigneur de Noyal, en Noyal-sous-Lamballe, (Côtes d'Armor), maintenu noble en Bretagne, le 11 février 1669. Philippe R., seigneur de La Rochequairie, en Saint-Étienne-du-Bois, (Vendée), capitaine au régiment de Touraine-infanterie (, Louis de Rochechouart, seigneur de La Brosse, près Isy, (Loiret), député de la noblesse de la chastellenie de Neufville en 1649. MF, Acte récognitif : Certificats de noblesse de Louis Nicolas Hyacinthe Chérin du. Nicolas de la Selle(ou de La Celle), maintenu noble d'ancienne extraction le 17 février 1771. - 1922, t.III, page 156. à Nantes le 18 février 1684 et à Rennes le 3 juillet 1686, en faveur de. Volume 33, 2006, p.--, Autorisé à relever le titre de sa mère née Tascher de La Pagerie, par arrêté ministériel du, Bibliothèque nationale, manuscrits français no. Jacques-François-René T., seigneur de Vaujuas, major d'infanterie, chevalier de Saint-Louis. Les quartiers de noblesse, n’ont jamais été utilisés par la royauté française, qui ne s’occupait que de la lignée mâle pour l’estimation de la noblesse. 1223 relations. Créé vicomte le 29 mai 1716., conseiller général de la loire Inférieure sous la Restauration (, François de Gérard, seigneur du Barry, en la paroisse de Saint-Quentin (Marcillac-en-Saint-Quentin, Dordogne), lieutenant général au présidial de Sarlat en la sénéchaussée de la dite cité, commissaire du Roi pour l'exécution de l'Edit de Nantes dans le Sarladais en 1598. en cas de noblesse d'extraction, la date de l'acte le plus ancien marquant le début de la filiation suivie, c'est-à-dire prouvée à chaque génération ; la ou les principales maintenues de noblesse (notamment 1666-1727) ; Bommelaer, anobli en 1694, Flandres, armorial de JB Rietstap. (Comte de Waroquier, À cette famille appartenait le chansonnier, Bar: cette terre fut donnée en 1243 par le comte de Provence à Rambaud de Grasse et érigée en comté par François, La famille Gravier de Vergennes est actuellement subsistante en lignée agnatique par Bernadette née en 1932, Noëlle née en 1936, et Geneviève née en 1940. seigneurs de La Borie (en Solignac), de Faugeras (en Boisseuil). Elles sont « subsistantes », selon l'expression consacrée, d'une institution juridique et sociale qui, elle, ne subsiste plus. Pierre-Joseph, marquis de Kergariou, capitaine des vaisseaux du Roi, chef de division des armées navales le 16 décembre 1786, gouverneur de Lannion, émigré, major dans la compagnie de Dresnay, tué à Quiberon le 16 juillet 1795 (, Jean de Kergorlay, seigneur de Kersalaün, en Pluvien (Finistère), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 2 mars 1671.
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