Et en cela, je ne peux que conclure que vous êtes, l’un comme l’autre, le contraire d’un écrivain. Le groupe n’avait que 53 millions de dettes pour des fonds propres de 108 millions. Publier dans une revue en libre accès; Publier un ouvrage ; Publier un colloque; Eviter les éditeurs prédateurs; Déposer dans une archive ouverte; Diffuser sa thèse sur internet; Communiquer sur sa publication ; Connaître les réseaux sociaux scientifiques; Agir pour le libre accès; Publier dans un partenariat public-privé; Evaluer. Qui plus est, ceux qui concernent les maghrébins, déjà objets d’attaques régulières, plus ou moins explicites, dans les médias… Mais surtout, en plus de cette gêne, j’ai été très mal à l’aise vis-à-vis des deux enfants dont j’étais responsable ce soir-là. Vous incarnez exactement tout ce que vous fustigez dans vos livres, et par la même, vous êtes le contraire de ce que vous prétendez. Ce qui est tout à fait différent. Vous êtes le contraire d’anonymes. Lettre ouverte aux députés : ne votez pas la loi sur le renseignement Le Parti pirate lance un appel solennel aux députés de la république. De très nombreux exemples de phrases traduites contenant "adresser une lettre ouverte" ... à la faire publier [...] largement dans la presse française. Vous avez tenté de proposer une pensée de la musique. Tout cela est dépendant des formes sociologiques d’individuation et des conflits politiques qui transforment les pratiques linguistiques. Ou plus précisément, d’user de rhétorique avec malhonnêteté. Ce sont eux qui accomplissent, à chaque ouvrage, vos souhaits. Ce sont des enfants qui, ensuite, à l’école, peuvent payer le prix de vos raccourcis. Je suis tombé sur l’émission de Frédéric Taddeï, Ce soir ou jamais, où vous étiez invité en compagnie d’Etienne Chouard. Nous sommes de plus en plus nombreux à douter de l’efficacité du système représentatif. Bien sûr, le fait que vous fassiez vous-même partie des puissants ne devrait pas influencer notre analyse de votre réaction. Vivement critiqué depuis son sketch à l'encontre de plusieurs personnes gays le 18 mai, Cyril Hanouna a publié une longue lettre ouverte sur le site Internet de Libération. Elle est souvent écrite par une personne désireuse de lancer un débat sur une question qui lui tient à cœur, comme la politique, l’environnement, le système de santé, l’éducation, etc. Car bien sûr, « il n’y a pas mort d’homme ». Mais c’est toi qui en fait une expression courante et donc significative d’un vrai problème. . Vous participez à l’écart qui se creuse entre ce qu’on appelle, à tort, les communautés. Écrire une lettre ouverte. Vos ambitions risquent de vous engloutir. Vous affirmez souvent et vous vous inscrivez ainsi très nettement dans une tradition apophantique – celle-là même que vous situez à la source du chaos qui aspire notre monde : dualité métaphysique et taxinomie du réel en tête des toxiques repérés. Il en va de même, visiblement, avec le musicien – et vous en êtes ici l’exemple. Vous affirmez et vous rapprochez sans cesse. Vendredi 2 octobre 2020, Héloïse Letissier, alias Chris a publié une longue lettre ouverte sur son compte Instagram. Êtes-vous en mesure d’évaluer la décadence française quand vous travaillez au cœur  de ce qui la provoque ? Ah oui, dans le même ordre d’idée : «à la satisfaction d’un esprit, on reconnaît l’étendue de sa perte»…. La seule puissance possible qu’on puisse conférer à cet acte est dans l’acte lui-même et en aucun cas dans son récit a posteriori. Trop d’effets d’annonce développent une frustration très douloureuse. Alors de grâce, n’empêchez pas de parler ceux qui essayent de proposer autre chose, après 30 ans d’accroissement des inégalités. https://www.youtube.com/watch?v=W3soVlZ3FZ8. Encore une fois, je ne suis pas dépositaire de l’humour mais ne feignons pas d’ignorer que vos blagues peuvent avoir un impact désastreux sur des individus réels. Cessez de vous entourer de gens encore plus bêtes que vous, la complaisance étouffe votre cerveau. Il suffit de noter le nombre d’émissions qui vous ont invité. « Dénonce ton porc… à la justice ! Mais alors : quelle maladresse ! publier une lettre ouverte sur internet Aptana Studio . Mais de plus, je voudrais demander : qui peut parler au nom des mélomanes ou des lecteurs ? En vérité, je n’ai pas mis trop de temps à choisir. Vous rendez-vous compte du tort que vous faites à la démocratie avec une telle attitude ? Ce soir là, devant M. Chouard, vous ne souhaitiez pas comprendre. Vous n’êtes pas assez naïf pour croire en l’impact de ce travail. Vous employez par exemple le concept de «sens» ; vous traitez de la question littéraire. Je pense à M. Sébastien Lafarge (qui découvre par exemple qu’il n’y a pas 7 millions d’étrangers de moins de 4 ans en France puisqu’il n’y a que 3,2 millions d’individus de moins de 4 ans) ; je pense évidemment à M. Paxton qui a mis au jour les confusions d’archives sur lesquelles reposent vos conclusions. Vous souhaitiez rire, railler, tourner en dérision. La langue elle-même qui, on le remarque bien, se veut charnelle, est en réalité robotique, automatisée : elle se répète sans varier quand il lui faudrait s’achopper sur sa propre différence. Et déjà, rien ne va plus. Mérite-t-elle encore ce nom ? Monsieur, croyez-bien que si je vous écris, c’est que je vous crois responsable (parmi d’autres bien sûr) de l’état de notre monde. Je voudrais donc te remercier. Mais rappelez-vous Mallarmé à Degas : «ce n’est pas avec des idées que l’on fait des vers, c’est avec des mots». Bonjour,j'aurais une question toute bete a propos de Xampp. Que sa pensée est absurde ? La voici : http://m.youtube.com/watch?v=lPt2Mf1zSjE. Pour lui donner de l’ampleur, vous lui offrez cette dimension axiologique et polémiste. Je crois que le trajet de l’oreille à l’âme est plus court que celui qui passe par l’oeil. Ne pas oublier l'humour que contient cette lettre ouverte ! Mesdames, messieurs, quelles que soient vos convictions vous avez choisi de représenter le peuple français et de défendre les valeurs de la République. Vous y avez réussi en partie mais vous semblez oublier tous les fans de basket qui ne peuvent ou n’ont pas les moyens de se déplacer dans les salles chaque week-end et qui aimeraient bien suivre leur sport favori à la télévision tout comme les autres supporters des diverses autres disciplines. Êtes-vous en mesure de statuer sur le « suicide français » alors que vous y participez si activement ? Pire, que le fait même de le clamer annulerait cette absence d’identité ? Je ne vous apprends rien en disant que l’expérience musicale ne se limite pas à une perception idéalisée. Vous vous servez de la littérature comme d’un masque pour cacher de la mauvaise philosophie. Difficile de toute façon de paraître rebelle lorsqu’on se fait publier dans la collection l’Infini et la revue elle-même, c’est-à-dire dans ce qu’il y a de plus mondain dans le milieu de l’édition aujourd’hui. La grandeur des projets que vous annoncez est incompatible avec la place que vous laissez occupée par les idées, les images, les «objectifs». Vos livres sont plein de thèmes, plein de petites visions que vous avez sur le monde, plein de réponses. J’invite les personnes souhaitant défendre, présenter ou découvrir ce métier différemment à rejoindre et relayer cet appel. Des habiletés. Vous reproduisez un milieu littéraire avec vos proches qui n’échappe pas aux remarques que vous faîtes aux autres, puisqu’il y a là la même dynamique. Vous tentez de justifier un idéalisme par des démonstrations empiriques, tout en lui attribuant une validité axiologique. Que la pensée dominante serait le « politiquement correct » quand vous, vous feriez dissonance ! Oui, bien entendu, vous avez lu, vous avez cette culture qui vous permet de bluffer beaucoup de monde, et plus grave encore, de dire parfois des choses justes. Mais revenons plus précisément à notre problème : vous ne parlez pas de musique à proprement dit mais de relation à la musique. Si vous ignorez le nom du rédacteur en chef, vous pouvez le trouver sur le journal ou simplement contentez-vous d'écrire « le rédacteur en chef » à la place du nom. Dans une longue lettre publiée dans Libération le 8 mars, jour de lutte internationale pour les droits des femmes, un homme reconnaît avoir violé son ex-compagne. Vous représentez l’acte d’écriture, pire vous représenter l’acte de vivre. La «parole pensive» qu’il faudrait opposer à la toile des réseaux d’information, reste tristement absente de vos livres. Mais votre conférence ne se limite pas à un propos musical. Je n’en parlerai pas, car cela n’affaiblit pas du tout votre position. Cette publicité passe sur Gulli ! Mais s’il faudrait être bien naïf pour croire que Philippe Sollers se fout de son image, il faudrait l’être autant pour penser que vous aussi. Une lettre ouverte consiste à écrire un texte qui respecte les formes de la lettre, mais qui est destinée à être publiée par un journal et à être lue par un ensemble de personnes. Un rouage parmi d’autres dans la construction d’un même discours réducteur et simpliste. Il ne faut pas des livres qui nous disent que nous sommes aliénés, il faut des livres qui nous libèrent. Est-ce que tu dirais à un mec venu t’applaudir « J’ai tellement envie que tu te fasses défoncer la gueule » ou violer, tiens d’ailleurs ? La lecture et l’écoute de vos diverses productions m’ont cependant convaincue que cet espoir était vain. C’est cela qui conforte les consciences dans l’acceptation d’un système criminel qui ne cesse de favoriser les puissants et d’écraser les plus faibles. Quelques minutes plus tard, une fille que je suis sur twitter tweete: “Lettre ouverte a critique facile ou encore une meuf trop sensible a perdu du temps a écrire à des conards comme moi, hehe”. Sur les comptes publiés sur l’exercice 1999-2000, le groupe fait état d’un chiffre d’affaires de 506 millions d’euros, d’un résultat net positif de 36 millions. A l’issue de la consultation, l’administration organisatrice doit publier une synthèse des observations du public sur son site internet. Un manque cruel de rigueur et de droiture criblent votre propos et empêche toute pertinence intellectuelle. Ah bien sûr, c’était habile. C’est insultant, puéril, agressif : vous vous agitiez comme un enfant capricieux qui voudrait qu’on l’écoute encore davantage alors que cela fait déjà des années qu’il parle et est au centre des attentions – c’est contre-productif. L’écrivain, lui, souffre d’avoir cet inexplicable besoin de parler, alors qu’il n’a précisément rien à dire. N’est-ce pas statuer, implicitement, sur la vie que les gens cherchent ou construisent ? J’ai dit que je ne parlerai pas du fond et je veux dire que je ne me prononcerai pas sur ces lourdes questions politiques. Ma Lettre Ouverte. Cet été, au Festival de La Roquebrou, Pierre Robin, qui s’occupe du site HCF, m’a gentiment proposé de répondre aux critiques qui pourraient m’être adressées sur mon livre. Je ne peux pas croire que vous soyez sincèrement aveugles. Tu vas plaider au mieux la maladresse du direct, au pire, l’expression courante. Aaaaaaaaaaaaaaa Etant un amoureux de musique minimaliste vous comprenez que la «surprise» n’est pas une vertu cardinale à mes yeux. On crie la perte des valeurs…On sélectionne les éléments du réel qui nous environnent et qui nous semblent les plus pertinents puisque des gens importants (« vu à la télé ! Vous analysez les dangers qui guettent le monde avec un panel d’outils intellectuels bien plus subtil et varié que la plupart de vos concurrents romanciers. Et allez chercher les perles dans les cultures d’aujourd’hui. Le mal est fait, le vers est déjà dans le fruit. L’écart se creuse. Celle qui te reprend dans le public « ne se fait pas assez sodomiser ». C’est d’autant plus risible que la stochocratie (le tirage au sort donc) se trouve chez Aristote. Elle a écrit une lettre au Président Macron qu'elle a diffusée sur les réseaux sociaux. Certes, pourquoi pas ? Les français n’ont pas à être victime de votre seul complexe égocentrique. Il y a d’autres façons de parler, d’autres manières de vivre. A force de vous voir affligé sur les plateaux de télévision à cause de l’état de la civilisation aujourd’hui, j’ai eu envie de vous écrire et de vous renvoyer à cette si célèbre phrase de Spinoza : «ne pas rire, ne pas pleurer, ne pas détester mais comprendre». Tout cela est lié à une certaine conception du monde et de la pensée. Que toutes vos propositions sont des échecs. C’est cela, en effet, qui tue notre démocratie. Non, je ne promeus pas des phrases simples et plates. M. dit : Merci pour votre soutien. La tonalité, le timbre, l’atmosphère sont des composants décisifs. On remarque que vous êtes du côté des puissants. L’imposture est levée messieurs. Quand une de tes spectatrices rentre chez elle et se fait violer – par un inconnu, ou par son mec, en levrette ou en sodomie – tu penses à quoi ? Si «l’élite» n’a pas assez de «hauteur» pour savoir recevoir la culture populaire et en percevoir les valeurs, si elle est incapable de faire le tri et la part des choses, alors quelle est sa valeur d’élite ? Ce qui est particulièrement intéressant, c’est que votre position est l’héritière d’une tradition métaphysique occidentale qui valorise l’oeil par dessus tout. Pas étonnant que vous faîtes si peu de cas à la poésie contemporaine dans laquelle on trouve de véritables pulsations. Je me suis senti agressé politiquement, violenté. Monsieur, je suis terriblement choquée que de telles « blagues » soient relayées dans des publicités en 2016, de plus, sur une chaîne pour enfants. Nous ne sommes pas dans un régime de science dure. Juppé et Chirac), tout cela nous indique que le système politique actuel favorise l’accès au pouvoir de personnes malhonnêtes. Vous m’avez fait beaucoup rire, et pour cela, je vous remercie. Vous êtes très, très cultivé. Voici tout ce qu'il faut savoir pour faire une lettre ouverte. 1 en parlent. Voici les faits. Posez votre question . Vous n’êtes pas sans-identité vous êtes l’identité de ceux qui se réclament du sans-identité. Nominaliste ? Je me demande s’il n’en va pas de même avec la littérature. Que c’est un travail avec ses rouages, ses pièges, ses dangers, ses outils, ses fausses pistes, ses ouvertures, ses impasses, ses solutions. Le symptôme d’une société qui continue à penser qu’une femme qui se fait violer, agresser, humilier, ce n’est pas « si grave ». La lettre ouverte est un texte publié dans les journaux ou sur Internet et destiné au grand public. Mais je crois que vous avez fait quelque peu la même chose au fond. Le mélomane est la pierre de touche de votre argumentation. J’ai eu honte. Les informations recueillies sont destinées à CCM BENCHMARK GROUP pour vous assurer l'envoi de votre newsletter. En un mot donc : attention. Ainsi, vous reprochez aux critiques du manspreading d’ « enfermer un individu dans une essence imaginaire »[5], alors même que le mot « man » désigne dans cette expression une identité de genre socialement construite, et sert précisément à nier l’origine « essentielle » des comportements qu’elle prescrit ; sous l’apparence banale d’un laborieux « y’en a des biens », vous réactivez discrètement l’idée qu’il y a des hommes (bons et mauvais, s’étalant ou pas) ; autrement dit, c’est vous qui essentialisez. Celui qui n’a pas compris que l’écriture allait de paire avec la perte de toute image (même de soi à soi) n’a rien compris à la littérature. Il convoque tout un tas d’instruments discursifs extra-musicaux. L’expert qu’on appelle régulièrement pour diagnostiquer et trouver des remèdes. Ce sont eux qui tiennent vos promesses. Mais plus insidieux encore, comme la structure de celles-ci est précisément faite à votre avantage. Un entre-soi des élites qui produit, précisément, ce décalage que vous semblez tant regretter ? Car il appartient précisément à la démocratie de garantir que les discours puissent être entendus dans leur diversité. Voilà à mon avis la grande faiblesse de votre discours, et ce qui le rend «nul» et impuissant. Non pas une pensée «musicale», ou «musicologique», non. En somme, la version de Schönberg me transporte sans que je ne puisse l’expliquer. Elle perd toute fonction politique. Mais je suis déçu, car tout cela est raconté. Il y avait quoi, 120 personnes ? [4] Cf. – Parce que le langage tonal est plus riche en surprises – Et ? Fort heureusement, cette question est inépuisable. Je te les livre comme ça, d’accord, et on en parle ensuite ? En pleine actualité sur la numérisation, et juste avant les prix, trois romanciers publient une lettre ouverte au ministre de la Culture Frédéric Mitterrand et remettent la patate chaude au centre du débat : en France, il n’y a pas de réel statut professionnel de l’écrivain. Il suffisait de raconter que vous viviez des choses extraordinaires et que celles-ci étaient liées à la littérature, il suffisait de raconter que les phrases tournoyaient au-dessus de vos têtes dans des lettres de feu pour asseoir une crédibilité. Vous imaginez bien sûr comme j’ai été gênée, à la découverte de votre spot. Et je ne parle même pas du blog avec cette photo prise au Rosebud probablement, et de cet entretien où l’on pose son identité. Il est presque drôle de vous entendre revendiquer le rôle du marginal. Vous n’avez fait qu’user de rhétorique et confondre le spectateur. En revanche, c’est une banalisation. C’est un texte publié dans le journal Le Devoir. J’ai regardé avec curiosité votre désormais célèbre conférence prononcée au Collège de France. L’Académie Française est-elle entachée d’avoir élu Alain Finkielkraut au vingt-et-unième fauteuil, ou est-ce Alain Finkielkraut qui est éclaboussé par son entrée dans l’Académie Française ? Vous voulez «réhabiliter» la littérature et la philosophie ? Mais vous ne pouvez pas prouver sa «valeur» par un idéalisme mou. La question que je me pose alors, c’est pourquoi vouloir intégrer l’Académie ? On ne cesse de brandir la morale comme étendard en espérant ainsi vous terrasser. Des tournures. Moniste ? La voilà ma déception : vous dites tout ce qu’il faut faire, tout ce qu’on peut attendre de la littérature, mais vous n’en faites rien, et j’ai même peur que vous ne soyez pas loin de faire le contraire…. Vous statuez d’une certaine manière sur ce que doit être l’art et la relation à celui-ci. votre tweet du 21 avril 2018. https://twitter.com/enthoven_r/status/987649118272028673. Mais une fois que cela est reconnu (et vous ne pouvez pas le nier, c’est ce que vous dites d’Hélène et les Garçons), la question qui se pose évidemment, est la suivante : quel est votre rôle, à vous ? Peut-être peut-on croire à la bienveillance de vos intentions. Edilivre vous permet de publier votre livre en version numérique et papier gratuitement. Pour résumer, disons ceci : dès que vous souhaiter injecter de l’axiologie dans votre propos, vous quittez votre domaine de compétence. La lettre ouverte est un texte publié dans les journaux ou sur Internet et destiné au grand public. Nous sommes donc en droit de réclamer un peu d'équité. Qui peut s’enfermer dans cette image plutôt que de creuser l’expérience, en elle-même, et sans aucune représentation, donc, sans aucune posture ? Quelle déception…Ce n’est pas que j’attendais beaucoup, disons que je commence à m’habituer à être un peu déçu, mais vous continuez d’agiter des grandes perspectives. Vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification de vos données personnelles, ainsi que celui d’en demander l’effacement dans les limites prévues par la loi. Habitant en Californie, cet Américain âgé de 90 ans s’est offert une annonce d’un quart de page dans le célèbre quotidien Wall Street Journal pour la somme de 10 000 dollars, afin d’y publier une lettre ouverte. L’élite doit cultiver ce qui se fait bien aujourd’hui, et non regretter les temps anciens. Elles sont un moyen de s'adresser à … Quel type de fondements préside à celle-ci ? Ne s’agirait-il pas, désormais, d’appliquer votre grille de lecture à votre propre cas ? Elles peuvent être publiées dans un journal, sur un site internet ou dans un livre. Ne vous cachez pas derrière le pessimisme d’un constat. Il faudrait voir un peu du côté de l’aveuglement et des interrogations. aaaaaa Je ne vais pas vous opposer la bonne vieille morale bien pensante – ce serait une énorme erreur puisque vous l’avez bien vu, cette opposition vous permet de gagner tous vos débats ! Dans les deux cas, certes, je ne «reconnais» rien, je ne «comprends pas» la structure du morceau, et je suis incapable d’y percevoir des fausses notes. Mais respectez au moins ceux qui veulent laisser leurs oreilles libres d’être des oreilles. Vous ne vous êtes jamais dit qu’un «sans-identité» n’aurait pas besoin de le clamer sans cesse ? La fin d'une lettre se compose de trois, voire quatre parties : une conclusion (souvent un appel à l'action), un remerciement, une formule de politesse et une signature. Mais ce sont un peu plus que des blagues pourries. Cet été, au Festival de La Roquebrou, Pierre Robin, qui s’occupe du site HCF, m’a gentiment proposé de répondre aux critiques qui pourraient m’être adressées sur mon livre. Il peut le revendiquer et voter pour un parti qui reconnaît sa «souffrance». « Le ”manspreading”, une pratique qui ne devrait pas être réduite aux seuls hommes ». Je précise que ces remarques ne portent aucunement sur le travail du reste de l’équipe de l’émission Philosophie(s), que je remercie pour sa démarche et à laquelle je présente mes excuses pour les éventuels désagréments engendrés par la publication au dernier moment de cette lettre de refus. Derrida et Bernard Noël n’ont jamais écrit de best-seller. Je sais l’apprécier mais ne la cherche pas toujours. Mais plus important, je crois que l’angle d’approche que je propose est assez différent des critiques que vous avez dû essuyer jusqu’à présent. Ne conservez pas la culture d’élite pour votre émission de France Culture. Il n’existe plus d’émission télévisuelle où l’on prend le temps de débattre. Personne n’évalue sa vie en fonction de statistiques. Quand je l’écoute jouée fidèlement, je vis un état affectif riche. Ce petit moyen, pas donné, mais pas si cher, pour transformer des peurs intimes et personnelles en vérités objectives. aaaaaa Leur manière de voir la société française. Vous seriez bien les premiers, parmi tous ceux qu’on associe à cette étiquette à avoir aussi explicitement mis en scène votre propre activité. Vous avez essayé de penser la musique et la relation à celle-ci. Quand Adorno écrivait qu’Auschwitz a tué l’identité, je crois qu’il renvoyait aussi à l’impossibilité de ces rapprochements rapides entre événements. L’idée ne porte pas sa propre valeur – ou alors selon une autre et plus originaire pétition de principe qu’il est difficile d’imposer aujourd’hui. Partir du constat qu’il y aurait une rupture entre la musique de notre temps et les mélomanes, c’est biaiser d’emblée votre propos, car c’est faire comme si l’art (en général) avait une fonction connue et identifiable et devait se réconcilier avec ses amateurs. On n’a jamais convaincu personne en démontrant que les propos de l’agitateur des foules reposaient sur des imprécisions. » Serait-ce là folie ? Qui voudrait donner à l’ouïe la même capacité d’organisation et de reconnaissance du réel que la vue. Mais j’ai peur que vous soyez aliéné à l’image que vous vous faites de vous même et de la liberté qui doit être la vôtre. « J’ai tellement envie que tu te fasses violer », tu avoueras que ce n’est pas loin d’être une incitation à la violence, au viol, de fait. C’est ce dont je vous accuse aujourd’hui. Ce ne sont là qu’exemples parmi tant d’autres : je pourrais aussi me mettre, ici, à fouiller, énumérer, moquer les reliques douteuses de votre propre « caverne », regorgeante qu’elle est d’erreurs logiques et de manipulations rhétoriques. Vous êtes implicitement visé par la critique de M. Chouard. Vous chercher à créer votre propre ensemble. Vous avez fait vos propositions à M. Sarkozy, puis à M. Hollande. C’est pour dénoncer cela et pour alerter l’opinion que sa famille et ses amis viennent de publier une lettre ouverte diffusée actuellement sur Internet par le site Terra Hebdo: Vous avez promu une certaine musique, non depuis le point de vue du compositeur, mais depuis celui de l’auditeur. Tous droits réservés – Ma Lettre Ouverte –, J’ai eu le plaisir d’assister à ton spectacle il y a quelques jours au sentier des Halles. Contexte. La lettre ouverte est un texte rédigé sur un sujet qui passionne l’auteur. Sur la base de quelle éthique ? Pourquoi cela change-t-il tout ? Mais aussi complexes et riches que peuvent être leurs phrases, on n’a jamais le sentiment, à la leur lecture, du poids de l’effort qui les soutient. Il y a des dizaines de maisons d’édition discrètes et peu diffusées mais qui diffusent elles, des voix qui ne trouvent pas leur place dans les réseaux d’informations qui sont les nôtres – il est là, le lieu de la révolution. Je dis «autour», car ce n’est pas seulement le texte qui nous concerne, mais l’événement de sa parution – l’ensemble des discours qui ont été tenus publiquement, dans les journaux, à la télévision et à la radio, par vous comme par les journalistes qui s’y sont opposés. Il est temps de reconnaître votre échec et de vous retirer. Impossible de partager les articles de votre blog par e-mail. Voilà ce qu’était votre fonction journalistique ! Vous rendez-vous compte ? La phrase de réveil dont vous parlez tant reste toujours absente de vos ouvrages. D’abord, dans l’absolu : comment peut-on se permettre aujourd’hui, et dans un climat aussi tendu que le nôtre, de jouer sur les ambiguïtés et les clichés culturels ? Ou alors dans cette belle phrase de Montesquieu qu’on trouve dans L’esprit des lois  : « Le suffrage par le sort est de la nature de la démocratie. Chaque époque a apporté ses perles littéraires, musicales, picturales…Si vous ne les voyez pas aujourd’hui, si vous ne voyez que des horreurs, il y a fort à parier que vous voyiez mal. Ils proposent un quadrillage froid et objectivant du monde. Vous auriez dû répondre, argumenter, démontrer, défendre votre position. C’est pourquoi, ne souhaitant pas entrer dans ces jeux d’ombres, je me permets de décliner votre invitation, et de vous prier de bien vouloir cesser de vous revendiquer du nom de philosophe, lorsque, mettant les diplômes institutionnels, l’art oratoire et l’érudition au service du faux, du non-sens et de la manipulation des affects, pour des raisons d’audience et de contrainte professionnelle, vous vous adonnez précisément à une version moderne de cette activité contre laquelle la philosophie s’est construite historiquement : la sophistique. Cela revient à créer des prismes. ») en parlent. Votre vision du monde, dénoncer la mise en place d’un système globalisant qui aliène l’individu, la tentative d’introduire une pensée d’influence talmudique dans votre discours, voilà ce qui me plait. Il renvoyait à la nécessité de considérer l’unicité des événements. Il y a des gens dont il faut parler aujourd’hui : Renaud Barbaras, Quentin Meillassoux, Cédric Demangeot, Rodrigue Marquès de Souza…Plutôt que de rappeler le déclin culturel de notre civilisation, profitez de vos nombreux passages télévisuels pour parler de ces gens là. Regrouper Tzara et Schönberg pour les opposer à la musique tonale et à une littérature plus correcte sur le plan grammatical est un raccourci dangereux. Je veux donc dire que la santé de la démocratie tient précisément à ce que des gens proposent des choses, essayent de comprendre, de réparer les rouages cassés. Êtes-vous véritablement en mesure de statuer sur le champ d’expérience de la subjectivité ? Pourquoi vouloir faire partie de ce cercle ? Malgré cela, je vous avoue que les conclusions que vous tirez de vos prémices me semblent bien simplistes, pour ne pas dire fausses. Participer au dictionnaire ? Le constat alors est grave : tous vos ouvrages ne sont qu’une mise en scène de la littérature. [3] Cf. Il en est de même pour la finale de Pro B où une fois de plus SFR Sport 2 aura l’exclusivité de la diffusion alors qu’il aurait été, afin de toucher un maximum de public, plus judicieux de diffuser sur la chaîne de la TNT Numéro 23. Toute argumentation qui, dans le champ de l’esthétique ou de la philosophie de l’art se repose sur la notion vague et indéterminée de «chef-d’oeuvre» perd à mon sens toute crédibilité.
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